18ème dimanche du temps ordinaire (A)

On dira ce qu’on veut, mais ce qui est clair, c’est que les disciples n’ont que ce mot-là à la bouche : « apoluson » par-ci, « apoluson » par-là.  Rappelez-vous il y a quinze jours, lorsque nous avons entendu le récit du partage des cinq pains et des deux poissons, ils avaient déjà dit à Jésus « apoluson ».  Et voilà qu’ils en remettent une couche aujourd’hui. Une fois encore, ils Lui disent « apoluson », c’est-à-dire « renvoie-la » pour la cananéenne et il y a deux semaines « renvoie-les » pour la foule dans le désert.  Vraiment peu accueillants ces disciples.  Pas le genre de personnes avec lesquels j’aurais envie de passer du temps. Vraiment, « apoluson » par-ci, « apoluson » par-là !   Quelle image nous donne-t-il d’eux-mêmes.

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18ème dimanche du temps ordinaire (A)

Ayant appris une triste nouvelle, le superhéros Superman décida de se retirer dans le désert du Névada.  Superman étant un superhéros, il se devait d’être américain.  Mais ses admirateurs l’ayant appris décidèrent de le rejoindre.  Tout comme l’histoire de l’évangile que nous venons d’entendre, les admirateurs américains n’avaient pas songé à prendre à manger et à boire avec eux.  La nuit commençait à tomber et la faim et la soif se firent sérieusement ressentir.  Superman fut alors pris de compassion pour toute ces foules.  Il décida d’enfiler son costume de superhéros et survola de lui-même jusqu’à Las Vegas, repéra un supermarché et comme il est vraiment très fort, prit dans ses bras toutes les victuailles nécessaires pour nourrir toutes la foule.  Il faut dire qu’ils étaient très nombreux: plus de vingt mille personnes car, dans son comptage, la police avait intégré les femmes et les enfants.  Comble de bonheur, ils eurent à manger à satiété. 

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18de zondag van het jaar (A)

Bernard De Cock
Zondag 2 augustus

Jezus kon zijn druk leven alleen maar volhouden omdat hij innerlijk sterk was, omdat hij bad en contact hield met God. Af en toe wilde hij dus alleen zijn op een eenzame plek om er te bidden, te mediteren, tot zichzelf te komen. Zo begint ook ons verhaal: ‘In die tijd voer Jezus in een boot naar een eenzame plek om alleen te zijn’. Maar de mensen komen het te weten en ze gaan hem achterna. Dat is te verstaan, want ze hebben iets aan hem, hij haalt het beste in hen boven, hij weet precies welke vragen en problemen zij hebben.

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17de zondag van het jaar (A)

Anton-Marie Milh
Zondag 26 juli

Beste zusters en broeders,

Over Jezus is veel beweerd, en veel in twijfel getrokken. Wie alle bronnen samenneemt, kan echter alvast om één waarheid niet heen: Jezus was een rondtrekkende predikant, die in de eerste eeuw van onze jaartelling Joden én heidenen wakker schudde met zijn boodschap van een op handen zijnd Rijk Gods. We hoorden dit de voorbije zondagen; we hebben het vandaag gehoord. Jezus vertelt parabel na parabel opdat de kern van zijn boodschap tot ons zou doordringen.

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16ème dimanche du temps ordinaire (A)

Voici encore trois paraboles sur la construction lente et patiente du Royaume de Dieu. Je voudrais m’attarder sur la parabole du Semeur, ce Semeur généreux, semeur à tous vents !déjà entendue dimanche dernier ! Aujourd’hui ce Semeur doit faire preuve de sagesse face à un nouveau problème dans son champ. Un adversaire a tenté de saboter sa semence en semant de nuit l’ivraie (la zizanie). Lorsque les jeunes pousses sortent de terre, on s’aperçoit qu’elles sont mélangées à l’ivraie, herbacée particulièrement nuisible aux céréales. Que faut-il faire ? Voilà la question ! Nous sommes souvent embarrassés devant les choix à faire. Faut-il éliminer, extirper l’ivraie…Cette réponse est néfaste, nous dit l’évangile, car alors on risque de tout détruire, à la fois l’ivraie et le blé. 

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16ème dimanche du temps ordinaire (A)

Il y a quelques jours, j’ai senti monter en moi le désir de lire un roman, précisément parce que celui-ci était absent de la bibliothèque de notre couvent, et qu’il venait d’être emprunté… Le simple fait que ce livre ait été prêté a fait grandir en moi mon désir de lire ce livre plutôt qu’un autre ! L’expérience est classique et ce mécanisme —le désir mimétique— décrit par l’anthropologue René Girard est relativement bien connu. Il y a un désir au fond de nous, qui peut croître en fonction du désir de l’autre. Nous le savons, le désir de l’autre ravive le nôtre. Il suffit parfois qu’un objet soit désiré pour qu’il devienne l’objet de mon désir. C’est dans ce mécanisme-là, dans cette convoitise et cette imitation, que René Girard place les racines de la violence, du mal entre les humains.

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16de zondag van het jaar (A)

Ignace d'Hert
Zondag 19 juli

De laatste weken gaat het in het evangelie telkens weer over een of andere boer die zijn veld bezaait, en wat hij allemaal tegen komt. Vandaag klinkt het zelfs een beetje link: er is sprake van een vijand die probeert de oogst om zeep te helpen. Maar, en toch merkwaardig : de boer luistert helemaal niet naar de wijze raad die ervaren mensen hem in het oor fluisteren: doe daar toch iets aan, grijp in.  Neen, niets daarvan. 

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15ème dimanche du temps ordinaire (A)

Avez-vous remarqué que —du point de vue de la rentabilité— il n’y a pas pire investisseur que le semeur de cet évangile ! Il ne fait aucune distinction entre les terrains ! Il sème à tous vents, sans prêter attention au résultat possible, sans penser à choisir le meilleur terrain, le plus rentable, le plus fertile ! Il jette du grain partout, sans peur de le gaspiller. N’est-ce pas l’attitude de Dieu envers nous ? Il donne, inconditionnellement, envers et contre tout, sans tenir compte de nos mérites, sans mettre les humains dans des catégories… Oui, Jésus, envoyé du Père, est venu dans le monde pour semer sa parole. Et il la sème partout car il veut que cette parole atteigne tous les cœurs.

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14ème dimanche du temps ordinaire (A)

Voilà un conseil tellement plus facile à dire qu'à vivre ! Surtout, lorsque nous avons l'impression que tout nous tombe dessus. Cependant —si on y réfléchit— prendre le joug d’un autre, n’est-ce pas justement accepter de se dessaisir d’une partie de nous-même, de ce qui nous pèse peut-être, pour nous lier à un autre ? Il s’agit d’accepter qu’un autre porte, avec nous, ce que nous avons à porter. Au sens premier, le joug n’est pas ce qui pèse ou fait peser, mais ce qui relie, ce qui attache. Qu’est qu’un joug, sinon ce qui nous impose de ne pas avancer tout seul ? Qu’est-ce qu’un joug, sinon cette pièce de bois, —comme une croix—  qui nous rappelle que la vie n’a de sens que si elle est reliée...

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